Paul ROMAIN

Paul ROMAIN

Team Compétition

A l’âge de 20 ans. Romain Paul est un jeune photographe outdoor originaire de la vallée de Chamonix Mont-Blanc. Là ou il a commencé l’Alpinisme, le parapente, et les sports extrêmes.

Basé au coeur des plus hautes montagnes de France, c’est dans son “jardin’ qu’il pratique quotidiennement tous ces sports. De l’alpinisme au parapente en passant par le ski freeride, l’escalade.

Véritable Couteau suisse de la Haute Montagne, Paul s’est spécialisé durant son enfance à l’escalade de glace. Des compétitions internationales au face les plus difficiles du massif du Mont-Blanc.

Alpiniste, Pilote, Photographe, Influenceur sur les réseaux.

Paul est également passionné par l’image, il adore utiliser son boitier dans des endroits extrêmement risqué. C’est ce qui lui à amené à être suivi par des milliers de personnes notamment sur Instragram.

Il vient tout récemment de créer Mountain Media House qu’il développe comme une agence de communication et de production audiovisuelle

Tu voles depuis quand ?

J’ai attaqué le parapente le jour de mes 18 ans, c’était mon cadeau d’anniversaire. J’ai commencé par un stage puis je n’ai plus jamais arrêté, maintenant j’essaye de m’entrainer tous les jours à mes futurs projets.

Ta sellette ?

J’aime beaucoup la kliff 2 pour des combinaisons para – alpinisme. L’encombrement minimal et son poids m’ont fait choisir cette sellette. Sinon pour tout le reste j’aime la Kolibri qui correspond à ce que je cherche en terme de légèreté-confort

Pourquoi Kortel Design ?

 Je n’ai pas vraiment de réponse bien précise, je pense que c’est venu naturellement avec leurs qualités de finitions et leur philosophie. Cela correspond à mes attentes à 100%.

Ton plus beau vol ?

Décoller du Fletschhorn, sans doute mon plus beau vol mais aussi mon plus stressant, c’est dans ces moments la qu’on se sent tout petit. Souvenir partagé avec un membre du Team : Remi.

Des projets ?

Beaucoup de projets avec mon parapente qui murissent, des combinaisons para-alpinisme qui pour l’instant restent dans un coin de ma tête.